Charlie vivra oui sans aucun doute mais surtout nous vivrons tous, comme charlie, debouts nous sommes libres de dire, de douter, de croire de tenir un crayon de marcher, seules, sans crainte nous sommes libres de rester décents de ne pas faire d'amalgame de défendre l'autre, différent. nous sommes redevables de nos actes, de nos paroles devant n
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Sur le fil...se suspendre Ă tous les possibles. Au plus juste de moi.
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Petits riens de Corinne.over-blog.com
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs...un chemin pour demain
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26/06/2010
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Mots papillons en bouche à bouche elle s'en étonnait encore "je t'aime, je t'aime, je t'aime" des palpitations inattendues de vie son calme dans ses désordres lui dans sa vie à elle.
Ăcriture Ă quatre mains dans l'allĂ©gresse, dans le dĂ©sordre amoureux. un beau chapitre, mais clos plus de mots les yeux se brouillent peut-ĂȘtre dâavoir trop lu. les phrases sâentrechoquent, non-sens. avancer mais vers oĂč ? le livre se ferme fleur Ă©crasĂ©e entre deux pages, sĂ©chĂ©e bientĂŽt. il nây aura pas dâĂ©tĂ©.
Tu as vu, entendu tu as parlé au vent la folle espérance s'est fondue à la nuit tu as crié, hurlé tu as mordu les astres morts la nuit t'a cueillie comme toujours tu veux tout le mystÚre et le savoir le jour sans doute t'apportera quelques réponses
Doigts écartés avancer hésiter encore tendre ou se rendre.
Attendre que le soleil efface la nuit. attendre. la porte s'ouvre. lumiĂšre.
Me voila sur le dĂ©part. partie mĂȘme. j'emporte tout avec moi. mes textes et vos mots. tout est dĂ©posĂ© sur : https://ccommecorinneblog.wordpress.com me suivrez-vous ? j'ose oui, trĂšs fort, en fermant les yeux comme on fait un voeux de petite fille, j'ose l'espĂ©rer. a trĂšs vite, corinne
Je me souviens des mots rouge-gorge sur la branche pour apaiser la peine. l'infiniment précieux qui construit.
Longue marche dans paris. ne pas entrer dans les magasins. marcher, aller devant. mon terrain de prédilection ; l'hÎtel de sully photographié pour "a mon regard" et la place. ma place. ce quasi carré, le square et ses bancs en son milieu. rue des francs bourgeois qui mÚne invariablement rue des rosiers. la boutique jaune de finkesztajn. une lo
Extase du froid chercher l'éphémÚre haut perché en quelque lieu improbable au delà des frontiÚres au champ des possibles un espace temps tant et tant espéré.