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Quand j’emprunte tes chemins creux, Où tes pas guidaient tes ballades, J’entends toujours, j’en suis heureux, Les échos de tes « rigolades ». Ils ne chantent plus, les grillons Qui donnaient du cœur à l’ouvrage Au temps des pénibles moissons Aux gerbes d’or, près du bocage. Sans le pas lourd de tes chevaux, De tes moutons aux chau