Comment fonctionne le vélo électrique ?
Commercialisé en France depuis 1995, le vélo à assistance électrique est un des meilleurs transports urbains en ce moment. C’est un vélo qui est constitué d'un moteur, d'une batterie et d'un circuit électrique. Il existe principalement 4 types d'assistance et 4 types de batteries utilisées pour la confection des vélos électriques. Comment fonctionne un vélo électrique ?
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Les composants du vélo électrique
Les caractéristiques du moteur du vélo sont normalisées. Le contrôleur électronique permet de réguler les différents composants. Selon les modèles, il peut y avoir un boîtier de commande au volant afin de moduler l’assistance.
Il existe divers types de batteries et d’assistance :
1. les batteries au plomb, moins onéreux et moins utilisé,
2. les batteries au nickel métal hybride,
3. les batteries au lithium-ion,
4. les batteries au lithium polymères, très technologiques et onéreuses.
Les vélos ne fonctionnent pas de la même manière. Il y a l’assistance par rotation du pédalier, moins couteux, plus courant. Le capteur détecte la rotation de celui-ci donc le pédalage et non la pression exercée sur la pédale.
Il y a l’assistance par capteur de pression dans lequel le moteur démarre par la pression faite sur la pédale.
Il y a assistance par capteur d’effort, c’est le pédalage et sa cadence qui commandent la puissance du moteur.
Enfin, il y a assistance par tension de la chaîne, celui-ci se met en marche par tension de la chaîne.
Le mécanisme de fonctionnement du vélo électrique
Le moteur électrique est situé généralement sur une roue libre avant ou arrière et quelques fois situé sur le pédalier. Il transmet le couple et la puissance. Ainsi, il aide le cycliste en fournissant jusqu’à 90% d’énergie permettant de faire avancer le vélo. La batterie apporte l’autonomie et influe sur la puissance. Elle est alimentée par un chargeur qui se branche sur le secteur. Les autonomies des vélos varient en fonction du type d’assistance et du niveau choisi, du poids de l’utilisateur, de la météo, du profil de la route. Le vélo possède un capteur magnétique recevant l’information lors d’un pédalage. Ce capteur transmet ensuite l’information à un variateur qui va calculer la puissance qui devrait être délivrée par le moteur. Toutefois, suivant certaines normes européennes, le moteur ne fonctionne pas si le cycliste ne pédale pas, s’il active les freins ou dépasse une vitesse de 25km/h. Soulignons que les prix de cet outil dépendent des performances exigées.