Un simple aller-retour d'un bout du couloir à l'autre, avec tanguage et roulis ...
L’ère est action et les réacs, à Sion ! Rien de tel que la promesse d’une bonne histoire de fesses pour voir chacun tendre l’oreille, voire l’oreiller… L’humaine nature n’est pas sans rature. L’œil égrillard aime à se griller sur les parties ch
Lionel Droitecour
Lionel Droitecour
Sauf mention contraire, je suis l'auteur des textes publiés en ces pages.
Je vous en laisse la libre disposition, la poésie n'étant, à mes yeux, qu'un acte gratuit.
Lorsque, sous le ciel d'une autre moisson, vous délierez ces gerbes, peut-être aurez-vous une pensée pour le semeur...
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Les vieilles lettres
Je vous offre, chaque jour, un poème sorti de ma boîte de pandore
Lionel Droitecour
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Journal de bord
Un bulletin de santé régulier et l'état des lieux de mon duel avec le méchant crabe aux pinces noires
Lionel Droitecour
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Articles à découvrir
Quand les gais, vus, se trament, mine ère
Face à la gravité des événements des dernières plusieurs fois quarante huit heures sur tweeter, et pour ne pas CGT à l'aveuglette dans des décisions si inconsidérées qu'elles sidéreraient un con si des rangs il en fut sortit un ; je me suis donc consulté tout seul avec moi-même. De ces cogitati
...Fugace, en cet instant où le jour passe et meurt / Il est une espérance intangible en l'éther...
Se perdre dans la nue au sommet d'un regard À contempler le ciel comme l'onde océane Et, dans cette échancrure où l'âme se distend, Verser le vain désir d'échapper au néant. Avant le crépuscule il est une heure, au soir, À l'appel de la
Comme un enfant meurtrit dans les bras d’un vieillard, Je porte ma douleur dans la travée des jours, Presque silencieux et dépourvu d’amours, Qui cherche une harmonie dans le moindre regard. Oh, cette solitude au sein des multitudes, Cette rime muette au bout de l’hémistiche, Ce cœur qui toujours manque au défaut de la friche, Et ce dout
Je m'étais promis de ne parler ici que de ma santé et de rien d'autre, si possible de manier l'humour à froid, dans ses nuances les plus noires, pour mettre de la distance entre ma peau d'oripeau et cette saloperie de maladie de merde qui me bouffe de l'intérieur. Et ça dure ainsi depuis près de deux ans... Mais voici que cette ordure gagne l
... La vague, en chaque instant, revient sur le brisant, / Face à cet infini nous restons des enfants ...
Il est en nous, offerte, une raison funèbre,Penser à autre chose, en cette finitude,Qu’au seuil dernier n’est-il un vain déguisement,Masque pour travestir notre livrée d’automne ? Ainsi nous en allons, quand le printemps foisonne,Fle
Pris à la fac un kir avec un fakir, qui rafla ( qui ? ) un rat avec ce frac, ire ?
Voilà bien longtemps, ma foi, que je n'ai plus servi ce journal... Point de mets virtuels, en ce mois de mai, dans ma maie. Mais oui, plus que jamais je ne m'y mets, ni la mi-mai, ni la fin mai. Mais si j'ai l'air fin, plutôt que faim, est-ce ma fin ? Point Angkor
Quand l’ire de la fac est un kir qu’on se carre, ou blanc cass’
Pas neuf, mais un peu en panne mon « Journal De Bord » ... Il ne déborde point de jours dans la mensuelle étude de sa mansuétude. En quelque sorte en rade, le camarade, camé à la fine mort de la morphine. Il me revient de vastes discussions à l’heure apéritive, fort ta
... Tu te fais une norme d’une forme close, / Rose de rhétorique au pavois d’une glose ...
Je grimpe quatre à quatre au quatrain de mon art, L’écart en mon verset déversé au rencart ; Elle sonne au sonnet l’hémistiche ringarde, Je ne puis guère, ici, que rimer par mégarde. Poète, anachorète et valétudinaire, Tu pérores narquois
...En ce vain caravansérail / Où vaque, ignoble, à ses menées, / La mort en son crime rituel....
1. Pourquoi, pourquoi que je suis moi ?Et comment je sais que j’existe,C’est quoi, cet astre dans ma tête ? Qui c’est qui donne la recette,Qui commande le tour de piste,Qui juge, édicte et fait sa loi ? Et pourquoi tout ce désarroi,La peine