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L-ios

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Journal d'un mec ordinaire

Bridget Jones j't'emmerde
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Articles : 502
Depuis : 10/12/2013
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Jour 495 : Covid-Monster (part II)

Jour 495 : Covid-Monster (part II)

Et maintenant je fais quoi ? Demain est là. A ma porte. Je vais pouvoir sortir "librement" de chez moi. L'avenir me tend les bras. Problème, il faut éviter de se toucher. Car le monstre est encore présent. Il me guette. Prêt à m'attraper. Je vais être masqué et ganté pour lui faire face. Monstre je t'attends. Et maintenant ? Il va falloir
Jour 501 : Lettre à Aya Nakamura

Jour 501 : Lettre à Aya Nakamura

Hello Aya, mais qué pasa ? J'entends des bails atroces sur toi. A c'qu'il parait, tu vas pousser la note pour la cérémonie des Jeux cocoricolympiques ! Mais ça va pas ?! Mais t'es tarée ?! Et ouais tu t'fais lyncher... Manu Macron penserait en effet à toi pour performer le 26 juillet à Paname lors de l'ouverture des JO. Tu y reprendrais une
Jour 497 : Covid-Monster (part IV) : Résurgence

Jour 497 : Covid-Monster (part IV) : Résurgence

La Bête est donc revenue. Sournoise et sans pitié. Son appétit encore plus féroce. Elle veut nous dévorer. On lui a donné faim. Nous nous sommes offerts sur un plateau. Nous nous faisons broyés sous ses crocs pernicieux. C'était l'été. Les masques tombaient. C'est l'automne les feuilles tombent. Et nous aussi. Faute de n'avoir pas ou peu
Jour 499 : Cours garçon, cours !

Jour 499 : Cours garçon, cours !

Courir c'est se déplacer par une suite d'élans, en reposant alternativement le corps sur l'une puis l'autre jambe, et à une allure, la course, plus rapide que la marche. Non. Courir c'est souffrir. Fin du débat. Ce n'est pas naturel de courir. C'est difficile. Physiquement. Mentalement. Le corps entier est martyrisé. Sans but bien précis au f
Jour 494 : Covid-Monster

Jour 494 : Covid-Monster

Les lignes qui vont suivre ne vont pas former une nouvelle. Non. Ni même constituer un témoignage non plus. Pas vraiment. Tout au plus une trame, une description. "Analyse" serait un bien grand mot pour résumer ce qui va suivre. Quoi qu'il en soit, je me lance... Partout. La peur se faufile dans les rues. Elle s'immisce dans les foyers. Elle vio
Jour 492 : Pédale !

Jour 492 : Pédale !

J'ai mal au cul ! Normal, tu enchaînes les pédales... Tu verrais son braquet... Raide ! Un vrai tape-cul ! Ah ben te plains pas de finir en danseuse ! En plus j'ai eu un coup de pompe... Attention à la giclette alors ! Il a fini avec panache tu sais... ... Et la prochaine étape avec lui, c'est quoi ? Honnêtement, j'sais pas. Je verrai bien où
Jour 500 : 500 jours ensemble

Jour 500 : 500 jours ensemble

Cinq cent jours d'écriture. Cinq cent textes écrits. Une partie de (ma) vie. Des mots, ça en fait des mots. Des idées. Bonnes. D'autres moins. De l'inspiration. Pas toujours la meilleure qui soit. Mais cinq cents textes au final. C'est dingue quand on y pense... Le 15 décembre 2013. Oui, c'est il y a un peu plus de sept ans que ce blog a vu le
Jour 493 : Lettre à Clara Luciani

Jour 493 : Lettre à Clara Luciani

Chère Clara, je ne pouvais pas commencer 2020 sans t'écrire. Impossible. Dans cette drôle d'époque musicale, tu as été la grenade qui a fait grand bruit dans mes oreilles. Un an que je suis un monstre d'amour en écoutant ton album. Et la réédition avec des titres inédits n'a rien arrangé. Oui Clara, je suis morgane de toi... On ne meurt
Jour 498 : Un bout de moi

Jour 498 : Un bout de moi

"Une de perdue, dix de retrouvées". Ce n'est pas vrai. Même chose au masculin. L'Amour ce n'est pas des mathématiques. La mort non plus. Un ou une de perdu(e), bah c'est un ou une qu'on ne remplacera pas. Impossible n'est pas français. En fait si. Plus vrai que cela tu meurs. Enfin je me comprends... L'autre jour un gars me dit : "Tu donnerais
Jour 496 : Covid-Monster (part III)

Jour 496 : Covid-Monster (part III)

Je lui ai souri. Oui j'ai osé. Mes yeux dans son regard troublant. Une connexion. Une accroche. Je n'ai pas hésité l'espace d'un instant. J'ai fait fonctionné mes zygomatiques vers le haut, sûr de moi. Aucune réaction de sa part. Elle m'a tout simplement ignoré, me laissant avancer inutilement seul. J'étais pourtant certain d'avoir un souri