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Des jours et des cuites...
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Articles à découvrir

Le ballet des cadavres.

Le ballet des cadavres.

J'ai toujours des idées un peu débiles quand j'apprends la mort de quelqu'un. des choses décalées. quand j'ai appris ta mort, j'ai pensé que j'étais sans doute le dernier type avec lequel tu avais couché. celui de la dernière cuite. on peut y voir sans aucun doute un rapport de cause a effet. tu étais morte depuis quelques temps sans doute
Freiner a toute berzingue.

Freiner a toute berzingue.

Vos gueules, putain, vos putains de gueule en me regardant mort, pourriez-pas un peu vous marrez, au lieu de chialer, ecouter un truc festif, genre du ska, au lieu de ces chansons éthérées et pénibles, comme ma maladie, vous n'avez jamais été drôle, faut dire, vos points communs a tous, c'est ça, c'est juste que je vous faisais marrer, vos
Transe.

Transe.

La fête : il fallait faire la fête, plus que jamais, plus fort que jamais. c'était le seul moyen. c'était ton devoir, de prouver que tu étais toujours vivant. les mots d'ordre et les positions politiques ne voulaient rien dire ; ce qu'il fallait c'était célébrer la joie de vivre face à toutes ces puissances grises, ces esprits morts qui co

Injection

Aujourd'hui j'apprenais avec stupeur que s'injecter des bouillons cubes dans l'anus ne donnait pas un fessier bombé, ça tombait, bien je pensais garder mon petit cul blanc parsemé de taches de rousseur et plat comme un film avec pierre niney.
La susceptibilité des fragiles.

La susceptibilité des fragiles.

Il se marre quand je lui raconte cette histoire. il a bien raison de trouver ça drôle. moi-même. les gens sont toujours fascinants, il dit, même dans leur médiocrité crasse. enfin il n'y a pas vraiment d'histoire, il n'y en a jamais eu. c'est pas mal pour une épitaphe, je dis, il n'y a jamais eu d'histoire. nous en sommes a notre troisième
Remplir les précipices.

Remplir les précipices.

La vie est devenu une image flou. un rêve qui ne devient rien au petit matin. ce n'est pas de la tristesse, ce n'est pas de la nostalgie, ce ne sont pas des idées un peu noires ou tristes. c'est comme une impression de lassitude. des visions un peu flous de ce qui est, de ce qui ne sera pas, de ce qui sera. de ce qui n'est plus. je virevolte sous
Les grains de sable.

Les grains de sable.

Se jeter dans le vide, enfin, éteindre les dérives, et comme un goût de cendre, comme une ode au néant, ce qui ne sera plus, ce qui ne sera pas, ce qui ne fut jamais, le fado au lointain, les souvenirs sépia d'une vie qui ne fut point, théoriser le feu, enfreindre les sarcasmes, dépasser les démons pour ne plus revenir, la mort qui commence

Suffisance

Aujourd'hui je me suis demandé d'ou venait la suffisance et la pédance des économistes, qui en général étaient des profs d'économie, hormis des militants d'extrême-gauche, j'avais jamais vu des gars qui se prenaient autant au sérieux et qui devaient d'astiquer la courgette en se regardant dans le miroir, je me l'expliquais pas mais ça me
Descendre des vers.

Descendre des vers.

Marrant, je crois. de flipper encore de ma prose et de mon cynisme. comment peut-on prendre au sérieux toutes ces putains de mascarade, ces rôles débiles que la vie essaie de vous assigner ? tous ces gens fragiles, de tout, de leur amour, leur religion, leur certitude. c'est a quel moment que les autres sont devenus de petites choses en verre qu
Refréner le mépris.

Refréner le mépris.

...et je n'ai jamais su être sérieux dans l'existence, c'est sans doute la raison de mon décalage avec les autres, toutes ses conneries de fierté, de persuasion de son bon droit, toute cette guimauve et ce bon sentiment. comme vous êtes heureux de ce que vous êtes, persuadés de faire le bien, ce petit sentiment de supériorité, cette imperc