Nous étions si bien tous les deux à caresser un loup, à regarder la pluie en larmes sur la vitre, tant de petits soleils. La vieille chaise a verdie où nous étions assis. Des fleurs y poussent en souvenir de toi. Je voulais mordre à la même pomme, planter le même noyau, toucher la même écorce. Je voulais marcher avec toi, longer les rives

Entre les barreaux que sont les hommes, il faut apprendre à s'évader. Jean-Marc La Frenière

Le tableau captivant de Vincent Van Gogh, en asile psychiatrique.. 🎑. "C’est lui qui nous regarde, au premier plan, dans la pénombre d’une petite pièce d’exposition. " fondation Morozov.

Originally written by Jean Ferrat in 1963. Alexandre Zelkine is also known as Alexander Zelkin or Sasha Zelkin. Pete Seeger's Rainbow Quest Episode 24. Filmed on Feb. 24, 1966. Full performance here: https://archive.org/details/RainbowQuest24

Quelle merveille cette peau qui recouvre les os, cette douceur du rire qui recouvre tes dents. Quelle merveille ces lèvres qu'elles embrassent ou qu'elles boudent. Quelle merveille ces doigts qui forment la caresse ou pétrissent l'argile. Quelle merveille ces yeux qu'ils dessinent ou qu'ils pleurent. Quelle merveille la lune sur la marée des son

Pressage privé du premier album de Richard Desjardins. Distribution limitée à 1000 exemplaires.

Le silence peuplé par la rumeur des autres est une autre façon de ne pas être seul. Il y a dans chaque homme un soleil que tout cache, une pluie d'infini que tamise le temps, une épine égarée au milieu des caresses. Le soleil intérieur ne peut rien contre l'ombre. À partir de rien nous sommes passés des arbres à la souffrance de l'homme.

Extrait de “ Les Chants de la Sansouïre ” (une promenade poétique en Camargue), un livre inédit écrit en collaboration avec Michel Falguierres (récit), Tristan Cabral (poèmes intercalés au récit)), illustrés de photographies de Didier Leclec . Tristan me l'avait confié lors de mon séjour chez lui, Av. Florian, à Montpellier en 2014

Workmen laying wooden water pipeline. Idaho, 1891.

J’écris avec la vie, au pain sec et à l’eau, à la semence des regards. Je suis un lieu commun qui quête l’espérance avec sa main qui manque. Je suis un grand trou noir engrossé de lumière. Je trempe ma parole dans la boue de chacun. Je tourne comme un cœur dans la roue des oiseaux. Jean-Marc La Frenière