Un des rares passages pour rejoindre le plateau sommital du massif du Kébir. Longue montée dans le sable mou où l'on ne s'éloigne guère de la trace principale par crainte des mines éparses.

Des trésors de plus en plus inaccessibles en raison de la géopolitique locale.

Quand la foudre naît du sable, elle crée des fulgurites.

L'ancien fond de mer asséchée a perdu son activité touristique depuis que l'Egypte est entrée dans les turbulences. Alors que le sud de la route se banalisait sous le quadrillage des randonneurs, le nord demeurait vierge. Quelques fellahs cultivaient pastèques et melons sur des lits de chaume, non loin d'ombres furtives qui profitant des forte

Oeufs d'Autruche utilisés comme contenants à eau.

Quelques traces dans le sable qui recouvre les frontières des anciens empires coloniaux. Seuls de rares patrouilles et les contrebandiers fréquentent encore ces lieux.

G.P.S, triangulation, calcul de route par bornage...Autant de nouvelles technologies qui nous font la vie facile mais nous rendent moins perspicaces et débrouillards qu'avant. Quand une simple carte, une boussole, un crayon et une ficelle nous emmenaient au bout de la Terre, sur terre et banquise comme en mer. Avec des yeux ouverts, un cerveau év

Quelques peintures d'une époque où les déserts sahariens étaient encore fertiles et parcourus par une faune à la fois sauvage et domestiquée.