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Marielle

Marielle

Ma vie est un grand livre. Chacun de mes poèmes en est une page Si mes souvenirs je vous livre, à la poésie il faut rendre hommage.
Tags associés : poesie, poesie, texte libre

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Le blog de Marielle

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Marielle Marielle
Articles : 1439
Depuis : 06/07/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

   ~~ Au bord des larmes ~~ de G. Cocks

~~ Au bord des larmes ~~ de G. Cocks

Sur la grève des paupières Parmi les herbes hautes des cils Noyées dans le flot doux et salé des émotions, Des remouds de la vie, Qui transportent les douleurs, Les joies, D’ici et d’ailleurs, Quelque soit les âges. Les hommes reposent leurs peines Sur sa berge, En sanglots ou à grands cris, Ou, Noient leurs chagrins dans son lit Le crim
~~ Je n'avais pas fini ~~ de G. Cocks

~~ Je n'avais pas fini ~~ de G. Cocks

Tu as éteint la télé avant la fin du film Avant le dernier baiser Tu as lâché ma main, Et le disque tourne encore Le morceau n’était pas fini, Tu t’es enfui aux douze coups de minuit Brisant tes chaussures de verres Comme mon rêve Que tu piétines, Sans remords, Qui crie si fort Et tu ne l’entends pas. Le cheval de bois galope encore s

Promenade d'un soir

De la rivière je longe le cours, Sur la ligne tracée tout au long des jours. Dans les arbres, au son du vent, S'élève la lune lentement. Insolente, elle inonde les taillis. Le hibou, dans son repère surpris, Hulule de concert avec dame la chouette, Et se renfonce dans sa cachette. Un poisson saute et replonge dans l'eau. Sur la berge s'enfuit
   Une ombre douce.

Une ombre douce.

Quand la caresse de tes yeux Supprime de ma mémoire Le jour et la nuit Quand tes bras si doux Si frêles si forts Me protègent de tous les assauts Quand ta bouche Au sourire blanc et rose Se pose sur mon front Quand tes seins Comme des fleurs de secret Font un nid à mon visage Une ombre douce me recouvre Mes angoisses sont jetées au soleil Le s
Barque solitaire

Barque solitaire

Solitaire....abandonnée, Elle attend le saison c'été, Dans le froid et l'humidité C'est son sort une moitié de l'année. Parfois, en promenade, des enfants Jouent et sautent entre ses flancs, Pour qu'elle oscille et ride l'eau ...! Leurs rires crispent son repos. Accotée à un vieux tronc moussu, Prisonnière d'herbes folles et de joncs Seuls
~~ Le frais  matin ~~ de Leconte de Lisle

~~ Le frais matin ~~ de Leconte de Lisle

Le frais matin dorait de sa clarté premiére La cime des bambous et des gérofliers. Oh ! Les mille chansons des oiseaux familliers Palpitant dans l'air rose et buvant la lumière. Comme tu brillais, ô ma douce lumière, Et tu chantais comme eux vers les cieux familliers ! A l'ombre des letchis et des gérofliers, C'était toi que mon coeur conte
~~ Au dessus d'un berceau ~~

~~ Au dessus d'un berceau ~~

Au dessus du berceau veillent les anges. Nos regars attendris dévorent le tableau, Nos mains d'impatience démange, Petit enfant qui est le notre, tu es bien le plus beau. Quand tes yeux étonnés découvriront de monde, Toute la magie venue du fond des ondes, Nous prendra nos vies, nos coeurs ... Nous serons désormais, tout à toi, "Bonheur". Qu
     ESQUISSE de A. Lacaussade

ESQUISSE de A. Lacaussade

Dans un lieu plein de fleurs, inondé de lumière, A tes yeux apparut, et grande, et blanche, et fière, La dame au long profil. De ses plis opulents La pourpre du velours drapait ses nobles flancs. Sur sa taille élancée aux courbes onduleuses Les lustres balançaient leurs gerbes lumineuses. Parmi des fleurs, — l’abeille ainsi porte son dard
Nous  n'irons plus aux bois

Nous n'irons plus aux bois

Nous n'irons plus au bois , les lauriers sont coupés.Les Amours des bassins, les Naïades en groupeVoient reluire au soleil en cristaux découpésLes flots silencieux qui coulaient de leurs coupes. Les lauriers sont coupés, et le cerf aux aboisTréssaille au son du cor ; nous n'irons plus au bois,Où des enfants joueurs riait, la folle troupe,Par
~~ Il passait...de A.Gurly

~~ Il passait...de A.Gurly

Il passait tout là-bas, au fond des solitudes, Sur la plaine infinie des souvenirs anciens, Des vents qui frissonnaient comme tremble un vieux chien Lorsque son maître meurt, pétri de lassitude. Sur la plaine infinie où nul vieux musicien Ne passe plus jamais chanter les quiétudes, Les bonheurs épicés de joies, de certitudes Les vents pleura