Dimanche, jour de reprise du travail hebdomadaire, Tewfik m’a fait découvrir le « Jardin d’Essai » qui, depuis 1832, est à Alger l’équivalent du « Jardin des Plantes » de Paris. Les surfaces sont du même ordre mais, ici, il y a une quantité impressionnante d’arbres, tels des ficus, atteignant des dimensions assez extraordinaires. C
Jean-Paul
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Politique
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Après le village de pêcheurs, nous sommes allés dans la montagne, où se trouve le berceau familial d’HAA et où elle possède, d’ailleurs quelques jeunes oliviers. En ce printemps, la nature est très verte et voir la mer au loin de là-haut est réellement un spectacle enchanteur.
Mais ce qui m’a le plus intéressé au long de cet après
Où que l’on aille dans le monde, on verra des canettes vides de Coca-Cola traîner sur le sol … ce qui est un signe évident de l’universelle présence américaine. Avec les Romains c’est un peu pareil, mais en se limitant modestement au pourtour de la Méditerranée et à l’Europe. Mais, si les canettes ne résisteront peut-être pas pe
Ce que je vois en Algérie, ça n’est pas l’opulence insolente qu’on voit dans certains autres pays du monde, mais les gens vivent manifestement correctement (Les tenues des personnes dans les rues sont, à cet égard, toujours des indicateurs précieux, de même que les étals dans les marchés ou l’absence de mendiants un peu partout). Ma
La promenade en Kabylie, avec mon amie HAA, a commencé par la petite ville de Tigzirt qui est un village de pêcheurs avec toute une flottille de petits bateaux de pêche rapportant au port diverses sortes de poissons petits ou très gros … et, en particulier des thons et des espadons.
Deux espadons et une moitié de thon attendent les clients
C
On ne comprend une ville qu’en se déplaçant parmi ceux qui y vivent et en empruntant les mêmes modes de déplacement. C’est pourquoi, mardi matin, je suis descendu en ville en bus (20 DA, autrement dit 10 centimes d’euro), puis j’ai marché le long des trottoirs et, comme tout le monde, traversé les rues devant des voitures qui savent
Samedi je suis allé, avec mon amie HAA, de Zemmouri (A l’est d’Alger), jusqu’à Tipaza (A l’ouest d’Alger), puis retour sur Alger … et j’en parlerai plus longuement demain et lundi, car ça le mérite, mais je vais d’abord évoquer une considération domestique qui a une profonde signification. On va parler de bassines, non pas «
Lundi matin je suis allé, à pied, visiter deux musées situés tout près de chez Tewfik. Le premier est le musée archéologique et ethnographique du Bardo. Il y a beaucoup de choses sur les premiers hominidés d’Afrique, et il y avait une très intéressante exposition d’instruments de musique anciens de différentes parties de l’Afrique.
Après l’émotion des recherches algéroises des traces familiales plus que centenaires, j’ai loué une voiture bien sûr, moyennant aller me promener en Kabylie, avec, pour commencer, une balade le long de la côte avec, par exemple, une étape dans le petit port de pêche de Zemmouri, dont mon amie HAA m’avait souvent parlé.
Ça n’est pa
Comme annoncé hier, avant de parler de la belle promenade en Kabylie, jusque dans le pays d’origine de HAA, je veux d’abord évoquer une particularité des routes en Algérie qui conduit à se poser quelques questions. Comme en France, on ne fait pas beaucoup de kilomètres sans passer par un rond-point, ce qui est le signe d’un réseau rout