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Aude

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Petit exutoire partagé...

Poésie introspective
Aude Aude
Articles : 75
Depuis : 30/05/2008
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

CALME

CALME

Je cherche le calme et la sérénité d’un passé encore et toujours vivant Mais ce qui vit encore et toujours c’est cette violence par habitude Cette emprise, cette emprunte qui me happe toujours dans le même sens L’engrenage des souvenirs suspendus inexorablement sur le fil de l’insoluble Et je me plonge dans le mystère de ce qui rester
DECEPTION

DECEPTION

Je n'ai jamais cru au père noël Les cadeaux, les illusions, Contrastent avec le réel Le lien ombilical s'avère cruel J'ai cru mais les yeux ouverts j'ai vu et je galère Tu parles du mot doux, celui qui veut dire « maman » Mais elle ne rime qu'avec ma mère Elle ne rime avec rien, juste avec sentiments vulgaires C'est bien elle dont je parle,
Il va falloir

Il va falloir

Il va falloir lui faire face à cette inconnue Entre regarder le plancher ou la porte Le choix entre le vide déroutant et l’issue J’espere jute que les mots exhortent Ce que dans l’intimité le vin exulte J’ai peur de me voir et de me decouvrir D’ouvrir le coffre fort et de faire sauter la cage Du passé, du plus lourd des souvenirs Peur
INCESTE

INCESTE

Petite fille de novembre Tu as grandi sous des douleurs incandescentes Pas de répit dans la tourmente Mais le souvenir qui je sais te hante et tourmente Injuste parti, une putain de loterie, injuste prix qui n’est pas à payer D’un monstre que même dieu ne peut tuer Dieu je m’en fou mais s’il existe c’est un sombre conte de fée Il n’
Touché coulé

Touché coulé

Touchée, émue je m’attache Méfie toi, sombre menace J’aime ce que tu es sans le savoir vraiment Je vais te toucher et te couler dans le tourment J’aime et je m’empare de toi par manque d’amour J’ai ce ne c’est quoi d’avidité carencée et vautour Je vampirise les émotions et les sentiments vrais Très bancale, et profondément d
Métamorphose

Métamorphose

Chrysalide peureuse et fragile Accrochée perilleusement à un fil Coquille timide et frêle qui vascille Suspendu là, à deux pas de la vie L'éclosion brutale survit au jour et à la lumière L'embryon foetal s'éclate et devient poussière Délivrance qui détache la chaire de ma chaire Voilà que je me pose naive du monde deletère Puis je voi
SILENCE

SILENCE

C’est toujours la même chaise en face de son bureau Je prends place mais l’angoisse s’installe avant moi La peur du silence, du vide tétanique fait échappée le Mot La note salvatrice pour qu’enfin s’exprime le « la » Et c’est parti, le ton est donné forcement Et les accords se font mais vite désaccordés Les instants de vie s’