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D'antisémite "viscéral", ou du moins s'avouant tel, je n'en ai jamais ouï, et doutais même qu'il en existât, avant de découvrir (tardivement) le Journal de Drieu la Rochelle, lequel du reste ne règle rien, car il est assez lucide et sincère pour évoquer les humiliations (face à Bernstein, par exemple) où il a puisé un sentiment prétend
Ab'alone
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le blog diarrhy
Ronchonnements et geignardises d'un bonhomme pas très sympa, mais dont les affirmations, pour péremptoires qu'elles paraissent, se veulent PROVISOIRES, et appellent au dialogue.
Ab'alone
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203
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26/09/2005
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Bégayant À l'oral des passions Boitillant Au parcours de l'action Barbotant Aux fleuves impassibles Comme un con Au calcul des possibles L'aile en plomb Au milieu des tempêtes Mal voyant Et ça fait mal poète Mal sentant Que la ciguë s'apprête Mal lisant Les runes du Grand Livre Ignorant Que les oiseaux sont ivres Recalé À l'épreuve de viv
Je n ai besoin de rien sinon de mon mal être Je me prive de tout sauf de récriminer Je me passe de maître et de subordonné Je méprise les portes et boude les fenêtres La rosée du matin suffit à me repaître Mais jamais non jamais j me pass rai d ronchonner. Quel pied l soir de Noël de lécher les vitrines En in-pettoïsant Les cons Comment
Le guetteur des péchés de la paroisse A dévalé l'escalier du clocher En gueulant comme un fou Bonjour l'angoisse C'est pas un crim' banal qu' j'ai déniché Enfoncés les violeurs de nouveaux-nés Les chambr' à gaz c'était l'enfanc' de l'art Écoutez maudissez et condamnez Le noir secret du roi des salopards Mais en vain pouvait-il s'époumon
Vous qui fermez les yeux sans un signe d'émoi Marmoréens dans des draps exemplaires Qui pensez J'ai vécu C'est bien Oubliez-moi Je me savais mortel, et nul n'est nécessaire Vous qui serrez les dents sous les dents du cancer Derrière un paravent Vous qui vous assurez le concours d'un notaire Afin que rien ne cloch' dans votre testament Votre se
On a passé vingt, trente, cinquante ans de sa vie sans "faire la différence" entre un Juif et un autre homme, et à tenir les Nazis pour plus insensés encore que scélérats. On estimait "le problème" définitivement dépassé, folklorique; on avait un froncement de nez, un mouvement de recul, devant ces gens qui vous glissaient que c'était "l
Merci à tous ceux qui ont réussi à lire, à ceux qui ont échoué, à ceux qui n'ont pas essayé, pasqu'y avait trop de mots, ou que les lignes étaient trop longues, et les caractères trop petits. Merci à ceux qui ont aimé et ne l'ont pas dit, ainsi qu'à ceux qui ont détesté, et, en revanche, s'en sont tus. Merci d'avoir préféré le sil
L'auteur, juré au concours de l'ENA, après avoir passé la majorité des candidats au fil du mépris (et narré, entre autres, le blackboulage d'un type qui, je cite, "s'est montré solide, au début de l'entretien, sur des points concernant le commerce extérieur et les accords du Gatt", mais qui s'est lamentablement rétamé sur les rapports de
IV Au terme de débats assez mouvementés qui ont défrayé la chronique et fourni matière à deux beaux articles de Jean-Loup Goldberg, Vidal a pris perpète, dont vingt ans de peine de sûreté, le tout confirmé en appel, et, bien qu il ait opiniâtrement clamé son innocence , il semblerait que moult indices concordants permettent au moins de
Y en a qui promèn' leur mystère Sur tout' les pistes de la terre À la recherch' d'un lieu qu'ils soient seuls à connaître À la recherch' d'un coin où l'on s'emmerde moins Dès qu'ils sont quelque part ils dis' Faut que j' me barre Quand ils sont arrivés c'est toujours comme ailleurs. Y en a qui pour voir moutonner À leurs pieds une mer d'