LE COURS COMPLEMENTAIRE . L'école du village était une école primaire et nous devions la quitter à 14 ans maximum après avoir obtenu ou non le certificat d'études. Pendant la dernière année il nous fallait décider ce que nous voulions devenir. N’étant jamais sorti de mon trou, je n’avais aucune idée sur la question. Je serais bien re
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LE DEPART POUR SENS Cela paraît surprenant mais à dix-sept ans passés je n'avais jamais pris le te Train. Souvent le midi j'allais les voir passer dans la petite gare de Plancoêt. Il n'y avait que quelques trains de marchandises et la Micheline qui passaient tous les jours Pour mon baptême du rail je dus faire un long voyage jusqu'a Sens. Ce n
LA HERSE Un lundi matin, à travers les vitres de la classe, nous vîmes arriver deux gendarmes dans l'école. L'événement était si étrange que nous nous demandions ce qu’ils venaient faire ici. La maîtresse fut appelée dans le couloir pour un long conciliabule avec les pandores. Puis elle ouvrit la porte et m’appela avec deux de mes copa
LES VACANCES A 17 ans, le CAP d'ajusteur en poche, je savourais les vacances à fin juin 1958 en participant aux travaux de la ferme avec mes frères et soeurs. Je ne me souciais pas de chercher du travail dans mon nouveau métier. D'abord il y en avait peu en Bretagne et personne dans mon entourage ne me le demandait Au contraire, je n’étais pa
BOUBAN Ma soeur Julia de 11 ans mon aînée était aussi ma Marraine. Elle fréquenta plusieurs années un jeune homme qui s'appelait Alexis. Je l'admirais beaucoup je lui trouvais toutes les qualités : il était grand, beau, toujours de bonne humeur, il jouait beaucoup avec moi et surtout me donnait des cigarettes. Je trouvais aussi qu'il avait b
LE COURS COMPLEMENTAIRE (suite ) J'avais peur de m'ennuyer en retournant à l'école mais pas du tout. Le matin nous avions un instituteur formidable d'une grande gentillesse et très pédagogue. En plus du français et des maths, nous apprenions la technologie et le dessin industriel ce qui me plaisait beaucoup. L'après-midi nous allions dans un
L’AUTOMOBILE Comme tous les jeunes soldats, mon frère aîné revint de son service militaire avec son permis de conduire. Mon père eut l'occasion d'acheter à un cousin plus fortuné que nous une Peugeot d'occasion qu'il nous vendait pour acheter une traction Citroën toute neuve .C'était le must de l'époque, peinture noire rutilante et tract
LE DEPART POUR SENS (suite) Après m'avoir demandé où j'allais il me prit ma valise en m’expliquant qu'il fallait faire très vite. Dans un premier temps j'étais heureux de me débarrasser de cette valise qui m'avait cassé les bras tout au long du voyage. Lorsque je le vis se faufiler avec une grande habileté dans la cohue, les recommandatio
LE DEPART POUR SENS (fin) A chaque gare le wagon où j'étais se vidait d'une partie de ses passagers. Je fus intrigué lorsque arrivé à Montreau, je me trouvais seul en compagnie d'une petite grand-mère aussi inquiète que moi et qui allait aussi à Sens En regardant par la portière j'aperçus un employé qui s'affairait à détacher notre wag