Ce soir le docteur Jekyll mord la poussière Les nombres percutent et s’ébrouent en nous cœurs Sur le tapis vert La partie tire en longueur Ce soir Mister Hyde a pris le dessus Ecartant Pergolèse ou Mozart Je te vois déjà complètement nue Je vais te prendre sur ce billard Ce soir Jekyll est vaincu dans mon rêve Entre tes membres et tes mot

Névrose royale dont Mérimée abuse Sans gène et sans cesser de geindre Traiter ici la reine comme consciente de feindre Et retirer de ma face la poudre de ses ruses Avec une conclusion le contrat est tacite Ascétisme honni romantisme rassis Turpitude explorant l’abyssale rupture D’où émergent déjà des êtres les ramures Signataires atta

J'observe... J'observe... J’observe que nous sommes en vie. Certes, perdus au milieu de l’océan sur un écueil fuyant, mais en vie. Sains et saufs. Je me permets, par ailleurs, de préciser qu’au vu de votre statut de spécialiste en biologie marine, notre situation est plutôt bienvenue.

Déçu des choses et en retard, je m’accroche à ma plume et n’en démord pas. Me voici tantôt poète, tantôt chroniqueur de l’apocalypse, mais surtout en quête d’un monde qui n’arrive pas. Ce n’est effectivement pas à une plume que je m’accroche – ni d’ailleurs à la lueur d’une chandelle que je rédige ces lignes – le c

Hector aura été trainé autour de mon appartement, dans cette neige. Pas de sang. Aucune trace du char d’Achille non plus, d’ailleurs.

Emotion, suspense, angoisse… La tension narrative ne sera jamais résolue !

Dans quelques heures tout se finit Nous arrivons aux dernières lignes De conduite Automobile cérébrale vite vite Anévrisme seigneurial dont j’évite Les effets doctrinaux et quantiques Energie linéaire littéraire et unique Acclamée par le réseau et l’espace de vie Tragédie antique éthique Phraséologie antithétique Le lien nerveux s

Au premier plan, une forme bleue. Un carré de plastique. Au lointain, deux visages masqués grossièrement. Les deux sont acharnés sur moi. A droite, une forte lumière et des néons froids. Dans la lucarne, une étoile de mer accrochée, désespérée, à son oreille. Des bruits, des vibrations. Une cascade fluorescente. Beaucoup de sang. D’un

Et Pavane de Fauré me strie les oreilles créant çà et là des sillons indélébiles au sein desquels je me perds. Labyrinthe grotesque dont seul le viol d’Elise me sortira.

Aujourd’hui, j’ai mis, enfin, un point final à mon grand roman : « Flammes ». J’y ai consigné tout ce que j’avais de narratif et j’y ai amputé les nombreuses circonvolutions poétiques et ineptes que j’ai âprement gardées pour ce blog. Maintenant, il va être question de le protéger ! De mettre ce manuscrit en sécurité dans pl