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qohélet

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ouvert, aime lire, écrire,le théâtre,le cinéma,la relation à l'autre, les voyages,notamment le voyage intérieur,la psychanalyse,la spiritualité.

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Le blog de michelmarc.over-blog.com

Faire connaître et partager mes écrits (roman, poésie, théâtre,etc.)Communiquer avec tous ceux qui aiment la littérature en général. Parler aussi de l'importante question de l'édition et de la distribution
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Articles : 224
Depuis : 21/03/2010
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Lourdingue rengaine

Tout le monde est mécontent Du plus petit au plus grand Du chômeur au nanti Du jeune au décati. Tout le monde est mécontent Éprouve du ressentiment Les imprécations de Camille Déstabilisent les familles. Tout le monde est mécontent Ça fait des lustres maintenant Ne peut-on pas faire autrement ? Voir les choses différemment ? Tout le monde

Chaud les marrons !

Tirer la couverture à soi Surtout quand il fait froid C’est le monde aujourd’hui Dans la neige, sous la pluie. Tirer la couverture à soi Même quand il ne fait pas froid C’est le monde aujourd’hui Dans l’artifice des conflits. Tirer la couverture à soi C’est la peur du pourquoi C’est le monde aujourd’hui Ce n’est pas moi, c’e

RIDEAU

Comme le dit la chanson : " Et voilà c'est fini ! " C'est la fin aussi de mon blog que je vais clôturer car je n'ai plus la force physique et morale d'écrire. je vous souhaite à toutes et à tous le meilleur dans vos vies.

Intime confession

Je vis dans un espace Où je n’ai pas de place Où la notion du temps N’existe plus vraiment ; Le jour devient la nuit Et le soleil tout gris. C’est comme une prison Qui bloque ma raison Et je n’ai pas les clés Pour pouvoir m’échapper. Pour autant cette nasse Qui m’enserre, qui m’enlace, Qui me lie, qui me noue Pour me tordre le cou

les maux du hurlement

J’ai crié du fond de mon abîme Je suis allé vers mon intime Je n’ai rien trouvé d’autre Qu’une meurtrissure de l’autre De moi-même en peine Qui mange toute sa laine Sa boule de fredaine À en perdre son haleine. Ô Job si tu m’entends Si tu vois mon déchirement Donne-moi de ton courage Avant que je ne tourne ma page.

En filigrane

Demain je mangerai tous les livres que j’aime Me ferai un quatre étoiles en thèmes, En versions originales numérotées ; Dégusterai ces phrases savamment agencées Assaisonnées à souhait de manière exquise Parfois sucrées-salées d’une note précise Par le jeu des consonnes justement employées Mélangées aux voyelles par touches color

Dérive républicaine

Chacun prend son plaisir où il se trouve Pourtant il y en a qui ne le trouve jamais. N’est-ce-pas ce que certains éprouvent ? L’ont-ils pour autant mérité ? La Liberté, Madame, la Liberté ? Je ne la reconnais plus. L’Égalité, Madame, l’Égalité ? Une espérance déçue. La Fraternité, Madame, la Fraternité ? Elle est en train de

Lueurs vespérales

Quand le voile des années Tissera sa toile surannée Avec une tendresse infinie Sur le visage de ta vie Quand le printemps sera fané Que le soleil de ton été Déclinera à l’horizon Un automne en pâmoison Quand la valeur ajoutée De ta pensée désabusée Ne sera plus entendue Qu’au bal des pas perdus Jette ta bouteille à la mer En inscri

J'en veux pour preuve

Les épreuves sont faites pour apprendre Elles nous façonnent, nous font tendre Vers le meilleur de nous-mêmes Cette lumière, cette indicible gemme, Ce diamant brut de décoffrage Que l’on doit tailler à tout âge Au fil des épreuves de la vie Pour comprendre le sens de sa vie. C’est en voyant de toutes les couleurs Que l’on peut vaincre

Madeleine proustienne

Il y a des moments dans l’existence Qui s’inscrivent comme une présence Et qui ressemblent simplement À ce que d’aucuns osent nommément Qualifier tout bonnement de bonheur. Mais comme tout bouquet de fleurs Comme tout feu d’artifice Ce n’est qu’un enivrement factice Qui ne dure pas dans le temps Qui s’envole au gré du vent, Pour l