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Satine

Satine

Jeune femme dynamique aimant la beauté des mots. Je m'adonne à la poésie et à la lecture. J'ai une passion pour Shakespeare, les romans policiers, les livres sur les vampires et les chats.

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Le blog de Satine

Ecoutez les battements de mon coeur, laissez-vous bercer par sa musique et partagez ma passion pour la poésie.
Satine Satine
Articles : 295
Depuis : 06/11/2007
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Les contemplations (14/31)

Un premier poème totalement poignant dont la fin ne vous laissera pas de marbre, donc même si la tristesse s'empare de vous, trouvez le courage de le lire jusqu'au bout... Le second est plus subtil. Bonne lecture ! Le revenant Mères en deuil, vos cris là-haut sont entendus. Dieu, qui tient dans sa main tous les oiseaux perdus, Parfois au même

Petit dictionnaire amoureux des chats de Frédéric Vitoux

Frédéric Vitoux est né en 1944, romancier, essayiste et chroniqueur littéraire au Nouvel Observateur, il est l'auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels figurent Bébert, le chat de Louis-Ferdinand Céline (1976), La Comédie de Terracina (1994), Grand Prix du roman de l'Académie française, Chats (2007) ou encore Clarisse (2008). En 2001, il

Les contemplations (16/31)

Deux textes poignants sur la souffrance d'un père qui a perdu sa fille... IV Oh ! je fus comme fou dans le premier moment, Hélas ! et je pleurai trois jours amèrement. Vous tous à qui Dieu prit votre chère espérance, Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance, Tout ce que j'éprouvais, l'avez-vous éprouvé ? Je voulais me briser le

Le livre noir des serial killers de Stéphane Bourgoin

C'est par un pur hasard que j'ai eu la chance de tomber sur ce livre et l'auteur en personne lors d'une sortie aux Livres sur la place à Nancy. En parcourant les allées, ce livre m'a tout de suite intéressée, j'ai lu la quatrième de couverture fort captivante, puis j'en ai pris quatre autres dans le même style dont je vous parlerai plus tard.

Hugo et les rois être et avoir

Un choix plus professionnel que personnel pour une fois, merci à Babelio pour cet envoi encore une fois. Ne pas faire de fautes lorsqu'on écrit un texte... Aujourd'hui pour de plus en plus de personnes, ceci tient du miracle. La faute à l'Education Nationale, à ses programmes trop lourds, aux enseignants de primaire ou de collège trop laxistes

Les contemplations (15/31)

Place à deux poèmes dédiés à sa fille disparue, ils sont aussi touchant l'un que l'autre, bonne lecture. Le premier devrait ravir tous les pères et les réconforter en même temps.... 15 février 1843 Aime celui qui t'aime, et sois heureuse en lui. - Adieu! - sois son trésor, ô toi qui fus le nôtre! Va, mon enfant béni, d'une famille à l

Les contemplations (13/31)

Encore un texte poignant de notre illustre Hugo.... Certes ce n'est pas le printemps, certes il fait beau et chaud mais même si ce texte prend aux tripes, il vaut le coup d'être lu et vécu... Chose vue un jour de printemps Entendant des sanglots, je poussai cette porte. Les quatre enfants pleuraient et la mère était morte.Tout dans ce lieu lug

Le livre des morts de Glenn Cooper

Titre accrocheur non ? Spécial Halloween ! La quatrième de couverture l'est tout autant : New York, mai 2009. Six morts violentes se succèdent en quelques jours. Les modes opératoires sont différents, les victimes n'ont aucun point commun, hormis celui d'avoir reçu quelque temps plus tôt une carte postale de Las Vegas, avec une simple date,

Changement de serveur

Chers lecteurs et lectrices, Je vous informe qu'à partir d'aujourd'hui mon blog sera transféré chez eklablog. Vous pourrez dorénavant me suivre à l'adresse suivante : http://raison-et-sentiment.eklablog.com N'hésitez pas à vous abonner à mon nouveau blog. Cordialement Satine

Les contemplations (17/31)

L'amour paternel dans toute sa splendeur ! De joyeux souvenirs bercés par tant de mélancolie mais aussi de bonheur... VI Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche aux bois, Elle avait dix ans, et moi trente ; J'étais pour elle l'univers. Oh ! comme l'herbe