Ce clip de l'ami Sauveur Merlan, notamment pour les magnifiques maillot Bianchi de Coppi et le côté bossa chic pour ascenseurs.

Un article signé BIbi sur LeMonde.fr contre-pied.blog.lemonde.fr/2012/07/08/bradley-wiggins-icone-mod/

Scott Mitchell a découvert le mouvement Mod un beau jour dans la voiture familiale, où l’autoradio crachait le « Eton Rifles » des Jam. Le refrain entêtant de cet hymne anti-aristos du trio de Woking plaisait bien au papa, qui reprenait en chœur avec facétie : « Eat your trifle ! Eat your trifle ! » Daddy Mitchell était loin de savoir q

"Mods, la révolte par l'élégance" au Salon des Livres sur le stand du Castor Astral U 73. Son auteur est à trouver plutôt au stand de l'Ecailler T 27 ou dimanche à 16h00 sur l'espace Ile de France, au stand des éditions "Au delà du Raisonnable" pour signer son polar "Consulting".

The Like étaient un bon petit groupe de filles à papa comme on les aime. Et quels papas ! Dans le line-up original, on trouvait ainsi Elizabeth Berg, fille d’un producteur de Geffen Records, Tennessee Thomas, rejetonne de Pete Thomas, le bassiste des Attractions d’Elvis Costello, sans oublier la gamine de Mitchell Froom, Charlotte. En dépit

Un dossier Mods dans le Rolling Stone de mai. Assez complet. Assez superficiel avec quelques petites erreurs. Et des références piquées dans un ouvrage cher à mon coeur et pas forcément sourcées. Bah... L'essentiel c'est qu'on en parle.

Whitney Houston n’avait pas grand-chose à voir avec le modernisme, sinon son héritage. « The voice », dernière victime de cette vie d’artiste qui a sacrifié tant de stars de la musique noire, était la fille de Cissy Houston et la cousine de Dionne Warwick. C’est d’ailleurs au répertoire de sa nièce que Cissy emprunta cette chanson

Un petit hommage de l'ami Sauveur Merlan à une époque où on faisait des bagnoles qui avait de la gueule... en tout cas une gueule aisément reconnaissable. Le "crash test" devait pas être terrible, mais on pouvait quasi se prendre pour Mr Spok sur les nationales. Ah, le bon vieux temps... fallait pas être à l'arrière et avoir l'estomac fragi

Bill Fay était pendant longtemps l’un des secrets les mieux gardés du rock anglais. Deux albums lunaires chez Deram, devenus des « collectors » hors de prix et un culte qui enflait d’autant plus que le bonhomme était introuvable. Et puis, l’évidence de tant de talent ne pouvait rester longtemps sans conséquence. Le mythe Bill Fay – s

Voilà près de trente ans que Davie Scott défend contre vents et marées et dans une indifférence coupable le culte de la chanson pop parfaite, mélodique et sucrée, émouvante et sophistiquée, avec ses fidèles Pearlfishers. Le Glaswégien a frôlé le succès au début des années 80 avant de choisir le retrait et des albums trop rares où i