J’atterris devant la porte qui mène à ton corps, dans l‘expectative, et pourtant déterminé à vivre ces moments en communion. Comment sera-t-il ? Petit, rond, élancé, flanqué d’une longue chevelure brune, d’un blond carré court, je n’en sais rien. Je crois que ce n’est pas important. J’imagine seulement ta tendresse, ton souri
Nathan
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07/09/2010
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Déjà le terme ! Le « coup » peut se comprendre, tu tombes sous le coup, brutalement, mais jusqu’à une certaine limite : un coup blesse et si en plus il s’agit de la foudre, peu de personnes sont sorties indemnes d’une telle agression. Bon d’accord, le second degré, le troisième degré, bien sûr, je sais, enfin … une brûlure au tr
Un an ! ou plus ? Je perds le fil, je m’emmêle dans le temps jusqu’à brouiller la dernière fois que je t’ai vue. Je crois que je t’aime moins. C’est assurément ridicule comme déclaration, je t’aime ou je ne t’aime pas mais... Je ne sais pas. Est-ce que maintenant que nous ne nous voyons plus je peux aimer quelqu’un d’autre ?
Vous constatez aisément qu’aucune échappatoire n’existe à mon affliction. Aussi, ne pouvant me passer de vous, il ne me reste qu’à tenter de vous rapprocher. Malheureusement, comme tout bon citoyen du deuxième millénaire, je manque de temps, happé par la platitude de ma pauvre vie. Mais oui ! Internet ! L’espace de liberté fabuleux
Au terme de l’aventure, le beau chevalier enlève la princesse de son cœur vers d’autres cieux plus favorables où ils vivront heureux et auront … mais quand une aventure s’achève, le cœur demeure, saigné, hésitant même à murmurer un semblant de battement de peur de rouvrir les plaies encore trop fragiles. Tout est fade. La terre s
Je suis libre ! Finies, les enclaves de stress contraignant mes envies, terminées les duels acharnés entre ma fausse conscience et mes vrais démons, achevés mon esprit chevaleresque et la cohorte de prédispositions imposées. La vie de couple est la seule façon d’aimer : Ah ! Laisser moi rire, ou plutôt pleurer face à tant d’odieux cabo
Seul. Les corps m’évitent. La foule est compacte, grouillante, qui détournant le regard, qui perdu dans ses pensées. A l’arrêt, interdit, le flot me contourne pourtant comme si une barrière existait autour de moi, un trou dans la masse qui, je le sais, me suivra au moment où je repartirai. Ou bien est-ce moi qui le provoque. ? Je m’ébr
Comment vous convaincre que je vous aime ? Par quels biais pénétrer au plus profond de votre conviction, m’y installer et multiplier les tendresses et les mignonneries ? Une éloge n’y suffirait pas. Ou alors … Je dois vous avouer que vous me fasciner autant que vous m’effrayer, l’un découlant de l’autre. Je ne peux vous aborder sans
Je m’étais promis de ne plus t’écrire. Pourquoi ? Pure rhétorique, c’est bien à moi que s’adresse cette question. Quelles raisons ai-je de ne plus tenter la sombre partie qui sommeille au fond de moi ? Alors qu’elle engendre une joie si lumineuse, des traits fulgurants d’émotions pures comme autant de bouffés de chaleur bienfaitri
Je le savais ! Ah tu peux toujours te persuader que tu oublies, que tu comprends l’impossibilité d’une relation, te mentir à l’infini jusqu’à acquérir la sensation de l’oubli. Le sentiment reste en toi comme une bulle comprimée grossissant du dépit de se voir réfrénée derrière sa paroi d’indifférence. Et tu ne t’aperçois d