Envie de t'écrire envie de t'écouter envie de ton sourire envie de tes secrets envie de ta douceur pourquoi ma main est orpheline de la tienne ? pourquoi ta tête n'est plus sur mon épaule ? envie de ton amitié surdimentionnée toi mon protecteur bienveillant ta chaleur me manque ton écoute s'est enfuie avec ton calme qui avait épousé ton ch

Dansons avec la guérison dans les silences de la nuit, la maladie s'invite silencieuse, elle s'installe, sans bruit le corps se plaint muet, l'âme se tait, la tête ignore tout soudain, on sait ! l'oeil lit et l'oreille apprend il faut réagir ! au fond de l'être surgissent alors une flamme et une lueur d'espoir pour se battre avec rigueur et vi

Je n'ai pas encore essayé de lui demander de préparer mon petit déjeuner mais, à l'impossible, nul n'est tenu. c'est une rencontre inespérée qui aurait pu ne jamais avoir lieu tant nous étions éloignés géographiquement. puis, lors d'un séjour chez une amie, nous fûmes attirés l'un par l'autre. j'appris rapidement son prénom jules. ave

Je t'appelle dans le ciel avec ton regard bleu ciel ! ton amour était de miel ! sur ta stèle, j'ai envie de déplacer consonnes et voyelles pour un verbe qui t'a fait vivre ma rebelle tes murmures et tes éclats de voix forment une aquarelle toutes tes couleurs te font vivre en moi de façon éternelle tatouée de tes plaisanteries et tes rires,

Un homme fume sur son lit.livide, torse nu, en short, il pense a sue, sûrement pas dans son lit vide. vie de chien qui lui fait mal. mâle ravagé d'amour pour elle. aile avec deux ailes pour voler de corps en corps. volage, massages pas sages. encore, un, pris au piège de ses charmes. arme, tang, aucune il n'a, heureusement. mantra ! il tuerait

Il quitte les chevaux et abandonne dans un sac de satin rose les danseuses tendues et impalpables. edgar n’intervient plus, non plus, quand des petites filles spartiates provoquent de jeunes garçons nus et oublie ces spectacles de guerre où les corps subissent des violences insoutenables. il a une nouvelle passion, loin d’être celle de la vi

Ne claque pas la porte seul, ne commence pas ton voyage ne dis pas qu’il faut que tu sortes pour prendre le train ou changer l’aiguillage tu mènes tes batailles tel un militaire tu te courbes, tu vacilles, tu trébuches sur tes pas sages le chemin devient long, trop long, dans tes instances décisionnaires ton regard bleu au-delà des frontiè

Maman, vite ! assieds-toi non, debout comme les grands descends ton pantalon oui, mais c’est moi qui tiens mon zizi chérie, j’ai envie de faire pipi ! quel est le souci ? déshabille-moi comme si j’étais petit t’es malade ? non, viens tenir mon zizi et, cette femme s’adressant à son fils ainé et son mari quand cesserez-vous d’uriner

Depuis douze ans, je te vois grandir toujours prête à te protéger et continuer à t’aimer au milieu, parfois, de tes vents de panique gérés soufflant dans tes oreilles agacées par des bruits trop forts toi, mon petit page toujours sage aux grands yeux aussi intelligents qu’émouvants tu cherches, au travers des méandres, l’impossible p